Les leprechauns sont des lutins cordonniers, hauts de quatre-vingt-dix centimètres, vivants dans les taillis d'Irlande, notamment sous les néfliers. Ils sont oroginaires de la partie nord de Leinster, et pour cousins les clauricaunes de Cork, les luricaunes de Kerry, les lurigadaunes du Tipperary, les lurachmains ou loghery men d'Ulster, les luricauns du Connaught et les lurgadhans du Munster. Mes les leprechauns sont si populaires que leur nom s'est imposé partout en Irlande. Ils sont également cousins des fir darrig.
Les lutins Cordonniers Généralement de tempérament acariâtre et d'humeur maussade, les leprechauns se gardent de la fréquentation des humains. Leur anonymat est facilité par leur extrême rapidité: ils se déplacent si vite que leur image n'a pas le temps de s'imprimer sur la rétine d'un oeil humain. L'hiver, ils hibernent, et ne réaparaissent qu'aux beaux jours.
Généralement solitaires, ils ont l'apparence de petits vieillards vêtus de jaquettes vertes, de chausses rouges agrémentées d'une boucle et de bas de laine. Ils sont coiffés d'un tricorne légèrement recourbé sur le coté et portent sur le devant un petit tablier de cuir. Ils fument la pipe, qu'ils nomment dudeen, et sont avide d'un whiskey de leur propre fabrication, le poteen. Il n'existe pas de leprechauns femelles, et on ignore tout de leur méthode de reproduction. Leur nom vient des mots gaëliques leith, "demi", et bhrogan, "godillot". On les appelle en effet les "cordoniers à un soullier" car les leprechauns, on ne sait trop pourquoi, ont pour coutume de toujours ressemeler une seules chaussure, jamais la paire. Les soirs d'été, on peut entendre dans les campagnes d'Irlande, le bruit joyeux que fait leur petit marteau. Leur nom pourrait également venir de l'irlandais luarcharma'n, "pygmée".
Les banquiers du petit peuple Traditionnellement, les leprechauns sont les gardiens de trésors fabuleux, qu'ils détiennent dans leurs lutinières situées sous les tertres enchantés d'Irlande. Ils sont considérés comme les banquiers du Petit Peuple d'Irlande. Si l'on parvient à attraper un leperchaun, on peut l'obliger à donner son trésor en échange de la liberté. Mais attention: les leprechauns sont rsés; ils proféreront mille mensonges et inventeront mille astuces pour s'échapper sans rien donner en échange.
Ainsi, un fermier de Kerry découvrit un jour un leprechaun assoupi dans un champ; il l'attrapa par la barbiche et le somma de lui livrer son trésor. Le nainpleur un peu, mença beaucoup, promit encore plus, mentit d'avantage, et finalement lui révella la cachette: le trésor se trouvait au pied d'une jacobée, au beau milieu d'un champ couvert de plantes de toutes semblables. Le fermier lâcha le nain, noua une ceinture rouge autour de la plante et rentra chez lui pour chercher une pelle. Mais à son retour, il eut la surprise de découvrir que toutes les jacobées du champ étaient nouée d'une ceinture rouge semblable à la sienne!
Le shilling du bonheur Les leprechauns portent égelement sur le devantdeux petites bourses en cuir. Dans la première se trouve le "shilling du bonheur", pièce magique qui se renouvelle aussitôt qu'elle est dépensée - ainsi, le leprechaun peut s'acheter tout ce qu'il désire, en payant en pieces d'un shilling. Dans la seconde, il conserve précieusement une pièce d'or qu'il donne en cas de besoin. Mais l'heureux bénéficiaire n'en tire nul profit, car la pièce se change ausitôt en feuille ou en cendres.
Les lutins Cordonniers Généralement de tempérament acariâtre et d'humeur maussade, les leprechauns se gardent de la fréquentation des humains. Leur anonymat est facilité par leur extrême rapidité: ils se déplacent si vite que leur image n'a pas le temps de s'imprimer sur la rétine d'un oeil humain. L'hiver, ils hibernent, et ne réaparaissent qu'aux beaux jours.
Généralement solitaires, ils ont l'apparence de petits vieillards vêtus de jaquettes vertes, de chausses rouges agrémentées d'une boucle et de bas de laine. Ils sont coiffés d'un tricorne légèrement recourbé sur le coté et portent sur le devant un petit tablier de cuir. Ils fument la pipe, qu'ils nomment dudeen, et sont avide d'un whiskey de leur propre fabrication, le poteen. Il n'existe pas de leprechauns femelles, et on ignore tout de leur méthode de reproduction. Leur nom vient des mots gaëliques leith, "demi", et bhrogan, "godillot". On les appelle en effet les "cordoniers à un soullier" car les leprechauns, on ne sait trop pourquoi, ont pour coutume de toujours ressemeler une seules chaussure, jamais la paire. Les soirs d'été, on peut entendre dans les campagnes d'Irlande, le bruit joyeux que fait leur petit marteau. Leur nom pourrait également venir de l'irlandais luarcharma'n, "pygmée".
Les banquiers du petit peuple Traditionnellement, les leprechauns sont les gardiens de trésors fabuleux, qu'ils détiennent dans leurs lutinières situées sous les tertres enchantés d'Irlande. Ils sont considérés comme les banquiers du Petit Peuple d'Irlande. Si l'on parvient à attraper un leperchaun, on peut l'obliger à donner son trésor en échange de la liberté. Mais attention: les leprechauns sont rsés; ils proféreront mille mensonges et inventeront mille astuces pour s'échapper sans rien donner en échange.
Ainsi, un fermier de Kerry découvrit un jour un leprechaun assoupi dans un champ; il l'attrapa par la barbiche et le somma de lui livrer son trésor. Le nainpleur un peu, mença beaucoup, promit encore plus, mentit d'avantage, et finalement lui révella la cachette: le trésor se trouvait au pied d'une jacobée, au beau milieu d'un champ couvert de plantes de toutes semblables. Le fermier lâcha le nain, noua une ceinture rouge autour de la plante et rentra chez lui pour chercher une pelle. Mais à son retour, il eut la surprise de découvrir que toutes les jacobées du champ étaient nouée d'une ceinture rouge semblable à la sienne!
Le shilling du bonheur Les leprechauns portent égelement sur le devantdeux petites bourses en cuir. Dans la première se trouve le "shilling du bonheur", pièce magique qui se renouvelle aussitôt qu'elle est dépensée - ainsi, le leprechaun peut s'acheter tout ce qu'il désire, en payant en pieces d'un shilling. Dans la seconde, il conserve précieusement une pièce d'or qu'il donne en cas de besoin. Mais l'heureux bénéficiaire n'en tire nul profit, car la pièce se change ausitôt en feuille ou en cendres.